Voici un résumé des points clés de l’article de Camilo Montoya-Galvez pour CBS News concernant le programme de libération conditionnelle humanitaire (parole) pour les Vénézuéliens :
1. L’administration Biden a décidé de ne pas prolonger le statut de libération conditionnelle (parole) pour les Vénézuéliens arrivés aux États-Unis dans le cadre du programme CHNV (Cuba, Haïti, Nicaragua, Venezuela).
2. Ce programme, lancé en octobre 2022 pour les Vénézuéliens et étendu aux autres nationalités en janvier 2023, permettait aux migrants d’entrer légalement aux États-Unis avec un parrainage et après vérification des antécédents.
3. Environ 530 000 migrants sont entrés aux États-Unis grâce à ce programme jusqu’à fin août 2024, dont 117 000 Vénézuéliens.
4. Les premiers Vénézuéliens arrivés il y a deux ans vont perdre leur statut de libération conditionnelle ce mois-ci.
5. Contrairement aux attentes, l’administration n’offrira pas d’extension de ce statut (« re-parole ») aux Vénézuéliens, contrairement à ce qui a été fait pour les Afghans et les Ukrainiens.
6. Les Vénézuéliens concernés recevront des avis les invitant à demander un autre statut d’immigration ou à quitter le pays.
7. La situation pour les Cubains, Haïtiens et Nicaraguans n’est pas encore claire, car leur période de libération conditionnelle n’expire qu’au début de 2025.
8. Les Vénézuéliens arrivés avant juillet 2023 pourraient être éligibles au Statut de Protection Temporaire (TPS).
9. Cette décision pourrait laisser de nombreux Vénézuéliens dans un vide juridique, sans autorisation de travail et exposés à un risque de déportation.
10. Cette mesure pourrait apaiser les critiques des républicains envers le programme CHNV, mais risque de susciter la colère des défenseurs des droits des immigrés.
Voilà ce qu’il faut garder à l’esprit dans l’article et partager avec nos proches :
Ça ne devrait pas nous étonner si le programme s’arrête pour le Venezuela parce qu’ils l’ont avant tous les pays du CHNV. Mais ça ne veut pas dire que tout pour les Haïtiens ne doit pas être pris au sérieux aussi.
Cette décision marque un changement significatif dans la politique d’immigration de l’administration Biden, potentiellement en réponse à la pression politique croissante sur les questions d’immigration à l’approche des élections.
Ce que quiconque doit comprendre de cette affaire l’administration de Biden voyant que l’économie se dégringole en supportant et en s’occupant plus des affaires étrangères pour prouver aux yeux du monde que son pays est sans nulle doute la première puissance mondiale que soit en argent ou en matériel de guerre; n’a qu’un seul moyen: créer une façon etatique pour remonter l’économie c’est ouvrir ses portes migratoires aux gens des quatre pays qui sont tellement assoiffés pour venir au sol de la terre promise et qui se livrent à n’importe type de travail juste pour posséder le dollar qui fait grandement l’actualité dans leur pays. Donc, le non-renouvellement de TPS aux Vénézuéliens habitant aux USA, c’est une affaire politique lorsqu’il y a du fil-à-retorde avec le gouvernement vénézuélien qui n’accepte aucune commande des Etats-Unis. Cependant avec la déportation du peuple vénézuélien sans statut légal sur le sol paradisiaque, ça va provoquer un soulèvement populaire arrivé au pays. Enfin, il ne reste qu’à observer comment la tension va se développer et quelles seront les répercussions en profondeur dans les prochains jours à venir.