Le Comité Présidentiel de Transition (CPT) est en pleine crise après des accusations de corruption à l’encontre de trois conseillers-présidentiels. Gilles, Vertilaire et Augustin au sein du CPT. Les allégations ont directement affecté l’agenda du CPT, notamment en retardant l’adoption d’une résolution essentielle sur le scandale financier du Bureau national de contrôle (BNC).
Selon des sources du CPT et rapportées par RFM, les accusations de corruption portées contre les trois conseillers ont engendré des tensions et des divisions majeures au sein du comité. L’objectif de la résolution était de mettre en place des mesures correctives et de renforcer la transparence concernant le scandale BNC, mais elle a été suspendue en raison des polémiques et des accusations qui frappent actuellement les membres du comité.
Ces accusations concernent des pratiques de corruption présumées, telles que des détournements de fonds et des conflits d’intérêts, soulignant ainsi des aspects inquiétants de la gestion des ressources publiques. Les accusations ont été fermement niées par les Conseillers-Présidentiels concernés, les qualifiant de tentatives de sabotage politique permettant de discréditer leur travail et d’empêcher la mise en œuvre des réformes nécessaires.
