Vers 2 heures du matin, des membres du gang Viv Ansanm ont incendié plus de 10 maisons dans les terrains proches du Fort National, provoquant la panique parmi les habitants. Face à cette violence, de nombreuses personnes ont dû fuir et se réfugier à Lali et au Mont Saint Jera pour échapper aux flammes et aux balles des bandits.
Cette attaque s’inscrit dans un contexte d’insécurité croissante à Fort National, où les gangs, notamment ceux de Viv Ansanm, continuent de semer la terreur. Des témoignages de résidents font état non seulement de destructions massives de biens, mais aussi d’assassinats et d’autres actes de violence. Les actions des gangs sont souvent motivées par des luttes pour le contrôle territorial, exacerbant ainsi la crise humanitaire dans la région.
Les autorités locales et les forces de l’ordre semblent débordées par la situation, ce qui laisse les habitants vulnérables face à ces attaques répétées. Les efforts pour instaurer un dialogue ou une solution pacifique sont souvent contrecarrés par la violence persistante des groupes armés.