Face à l’escalade de la violence gangstériste en Haïti, diverses organisations œuvrant pour la défense des droits humains, dont la Fondation Je Klere (FJKL), le Réseau National de Défense des Droits Humains (RNDDH), la Plateforme des Organisations Haïtiennes des Droits Humains (POHDH) et le Collectif des Avocats pour la Défense des Droits Humains (CARDH), ont manifesté leur approbation quant à l’usage de drones par les forces policières.
Ces organisations estiment que l’utilisation de drones peut renforcer considérablement la sécurité et la surveillance dans les zones sensibles, où les gangs sévissent avec une impunité alarmante. Elles soulignent que les drones peuvent fournir des informations en temps réel sur les mouvements des gangs, leurs activités et leurs cachettes, permettant ainsi aux forces de l’ordre de mener des opérations plus ciblées et efficaces.
L’approbation de l’utilisation de drones par ces organisations de défense des droits humains intervient alors que le gouvernement haïtien et la communauté internationale cherchent des solutions pour faire face à la crise de sécurité sans précédent qui sévit dans le pays.
